lundi 7 novembre 2011

Viols militaires acceptés par les généraux

"La guerre brutalise les hommes, au double sens du terme : elle les atteint dans leur chair et dans leur âme, elle les rend brutaux aussi"

Des soldats violeurs expliquent pourquoi leurs chefs militaires les laissent agir ainsi
UN MILITAIRE C'EST UN TERRORISTE

LES MILITAIRES C'EST POUR FAIRE PEUR AUX POPULATIONS
Il faut terroriser les populations du Monde Entier pour qu'elles se tiennent tranquilles si elles ne veulent pas que leurs États se retrouvent contrôlées par leurs forces Armées officiellement

Lors de la Seconde Guerre mondiale, Russes, Américains, Allemands et Japonais se livrèrent au viol. Mais ce qu'on taie c'est que ces anciens soldats continuent de violer après la guerre.

Les anciens combattants continuent de violer dans nos sociétés libérées de la guerre


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Les viols de guerre et d'après guerres

Lors de la Seconde Guerre mondiale, des militaires soviétiques, allemands, japonais ou américains se livrèrent au viol. Le cas de l'armée impériale japonaise utilisant de 20 000 à 200 000 femmes de réconfort enlevées est un cas extrême dans lequel le commandement lui-même a organisé le viol, alors que dans l'immense majorité des armées, il est totalement interdit par le règlement.
« La Face cachée des GI’s » rapporte que plus de 17 000 viols ont été commis par les GIs au Royaume-Uni, en France et en Allemagne[10]. Il y a eu, selon Susan Brownmiller, 971 condamnations pour viol par les cours martiales américaines entre janvier 1942 et juin 1947 dont 57 exécutions capitales.
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À Chypre, durant la période d'Enosis (annexion à la Grèce) déclenchée par le régime des colonels grecs, les milices chypriotes grecques se livrèrent jusqu'à l'intervention de l'armée turque à de nombreux viols, non dénoncés par les Turcs désireux de cacher cette humiliation

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Au Congo-Brazzaville, des milliers de femmes qui fuyaient la capitale ont été violées dans la région du Pool, qui entoure celle-ci, durant les guerres de 1998-2000[12]; en Irak, au moins 10 000 femmes, jeunes filles et fillettes, rien qu'à Abu Ghraib ont été violées pendant la guerre, depuis avril 2003 (Amnesty International, 2004). En Algérie, pendant les années noires (1992-1999), selon les sources officielles, plus de 10 000 femmes ont été violées, essentiellement par les généraux et la GIA

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Le viol de guerre est un instrument d'épuration ethnique, les nombreuses naissances qui s'ensuivent brisant la cohésion ethnique du groupe victime.
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Selon Amnesty International, 50 000 à 90 000 femmes ont été violées en France[45][Quand ?]. En 2010, les enquêtes de victimation révèlent que 75 000 personnes sont victimes de viols et 198 000 de tentatives de viols, soit une femme sur six et 206 viols chaque jour, 90% des violeurs ne présentant aucune pathologie mentale et 90% des condamnés venant des classes populaires

96 % des auteurs de viol sont de sexe masculin et 91 % des victimes sont de sexe féminin (statistiques concordantes du ministère de la Justice et du CFCV, Collectif Féministe Contre le Viol).

Selon les statistiques de la permanence téléphonique nationale Viols Femmes Informations :

  • 74 % des viols sont commis par une personne connue de la victime ;
  • 25 % des viols sont commis par un membre de la famille ;
  • 57 % des viols sont commis sur des personnes mineures (filles et garçons) ;
  • 49 % des viols sont commis sans aucune violence physique ;
  • 67 % des viols ont lieu au domicile (de la victime ou de l'agresseur) ;
  • 45 % des viols sont commis de jour.
Or seul 1 viol sur 11 fait l'objet d'une plainte (ENVEFF).

Le massacre de Nankin, également connu sous l'appellation sac de Nankin ou Viol de Nankin est un évènement de la seconde guerre sino-japonaise qui a eu lieu pendant six semaines après la bataille de Nankin, l'ancienne capitale de la République de Chine. Au cours de cette période des centaines de milliers de civils et de soldats désarmés sont assassinés et entre 20 000 et 80 000 femmes sont violées[1] par les soldats de l'armée impériale japonaise[2],[3]. Le Tribunal militaire international pour l'Extrême-Orient estime à plus de 200 000 le nombre de victimes de l'incident. Les chiffres officiels chinois ont état de 300 000, se basant sur l'évaluation du Tribunal des crimes de guerre de Nankin.

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Statistiques sur les crimes militaires


Les documents obtenus par Le Droit en vertu de la loi sur l'accès à l'information dressent un portrait peu glorieux de nos soldats et de la vie sur les bases canadiennes. Ils recensent des milliers de crimes en tout genre commis depuis 2007 et rapportés à la police militaire.

Du vol au viol, ce sont près de 4000 délits qui ont été commis depuis trois ans, dans une population militaire qui avoisine les 18 000 personnes..... donc 1 militaire sur 4 continue dans le domaine civile à se croire encore en anarchie.

Depuis 2007, rien que dans les forces de terre, 203 personnes ont été accusées d'avoir commis des infractions sexuelles. Ce serait cinq fois plus que la moyenne canadienne.

Les crimes rapportés ne représentent qu'une partie de la réalité, assure Me Drapeau. «On serait mal avisé, en tant que pays, de vouloir banaliser ou de rationaliser ces statistiques. Combien de victimes ont trop peur pour rapporter une agression sexuelle à leurs supérieurs ou à la police de la base?»

«Les bases où l'on voit les plus hauts taux (de conduite en état d'ébriété) sont celles d'où proviennent beaucoup de soldats (envoyés) en Afghanistan. Après avoir été encadrés strictement, il se peut qu'il y ait une certaine recrudescence au niveau de l'abus d'alcool à leur retour.» En réalité, les cas de conduite en état d'ébriété seraient six fois plus élevés dans les forces de terre que dans l'ensemble de la population canadienne.

«Un problème systémique»

De retour au pays..., de nombreux soldats sombrent dans l'alcool, soutient Me Drapeau. «Ce ne sont pas des cas isolés. C'est un problème systémique.... Ils boivent (par imbécillité)..... parce qu'ils sont désemparés. Le Canada faillit à sa tâche de les aider.»

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Autre étude

Violence conjugale chez les soldats - Les Archives de Radio-Canada


Sociologue à l'université du Nouveau-Brunswick, Deborah Harrison a réalisé 126 entrevues confidentielles dans cinq bases canadiennes avec une équipe de chercheurs. Parue en 2000, l'étude révèle que la violence conjugale constitue un grave problème dans les Forces canadiennes.
De plus, la culture du secret véhiculé dans l'armée protège les agresseurs, qui risquent moins d'être dénoncés. Des officiers tendent à nier l'existence de ce problème chez les militaires.

Le Secrétaire général condamne la violence contre les civils

Viols en 2010 pourraient constituer des crimes contre l’humanité



L'approche historiographique récente de la Grande Guerre proposée, depuis plus d'une dizaine d'années, par les historiens européens du Centre de recherche de l'Historial de la Grande Guerre, créé en 1989. Elle réside avant tout dans la volonté commune de ces historiens de s'extraire de l'historiographie de l'immédiat après-guerre et des années 1930 - "tu n'as rien vu dans les années vingt et trente" [2] - car elle a procédé, selon eux, à une histoire victimisante de la guerre, une histoire-bataille "vue d'en haut", où la violence de guerre est aseptisée, posant un "écran conceptuel" qui rend la Première Guerre mondiale et ses conséquences sur les sociétés belligérantes incompréhensibles. EUGÉNISME DES RICHES CONTRE LEURS PAUVRES
Ces violences inhérentes à un "darwinisme social" [7], caractéristique de la culture de guerre européenne du XIXe siècle, sont durant la Première Guerre mondiale reproduites notamment sur le front Est.

"comment entreprendre l'analyse des phénomènes d'occupations militaires, de répressions, de persécutions de 1939-1945 en ignorant ceux de 1914-1918 ?"


La brutalisation des sociétés par la guerre.....
Et maintenant la brutalisation des sociétés parles anciens combattants qui se retrouvent partout sur les Conseils de nos Caisses et de nos Banques et...... et qui imposent leurs malsaines mentalités de guerriers......(de la vie de combat)

La "culture de l'obéissance" et la répression militaire

Toutes les armées disposaient d'un code de justice militaire implacable et de règlements explicites : toute défaillance devait être sanctionnée immédiatement. D'où la réticence de certains de mutiner ou de déserter, de peur des sanctions. Et, comme l'exprime justement R. Cazals et F. Rousseau, "à quoi aurait servi cet arsenal répressif si les combattants étaient mus par un nationalisme exalté ?" En effet, l'arsenal répressif n'aurait aucun sens s'il y avait eu consentement à la guerre et à sa brutalité. Ce n'est pas que je veuille déresponsabiliser ces nonames qui deviennent un jour des soldats prêts à tuer sur simples ordres

En effet, dès le début de la guerre, l'Etat, hanté par un possible désengagement des populations, s'attache à constamment "surveiller" et remobiliser les esprits. Il tente de contrôler toute l'information, d'encadrer les populations par la propagande et la répression. Ainsi, la propagande loin de refléter l'opinion publique, a bien été réelle : "Quant à l'Italie, on sait que la grande majorité de la population était restée opposée à l'intervention. Pourquoi les soldats italiens ont-ils accepté de partir ? La soumission à la contrainte exercée par l'appareil d'Etat semble l'avoir emporté sur le vœu de la majorité de l'opinion publique" [36]. R. Cazals et F. Rousseau s'appuient sur des archives qui témoignent de la prégnance d'une surveillance permanente des combattants par l'Etat, notamment exercé par la censure postale.


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