''LE     CORPS ET LE SANG DU CHRIST: BUVEZ-EN TOUS, CECI SERA LE SCEAU DE     L'ALLIANCE (DIABOLIQUE) ÉTERNELLE..... EN RÉMISSIONS DE VOUS PÉCHEURS
SOCIOPATHES royaux :
--- Ils n'ont aucune conscience
--- Ils n'ont aucun remord
--- Ils sont aspergers car INSENSIBLES aux humains
--- Ils sont pires que les autistes
--- Ils sont dysphasiques (déconnecté de la réalité qui est NOUS
--- ..............
 
Il faut vraiment être malades pour vouloir s'élever au-dessus des autres et non AVEC les autres
Pourtant,     depuis Freud, il est admis que  l'anthropophagie est, avec l'inceste    et  le parricide, l'un des trois interdits  fondamentaux de l'espèce     humaine. Erreur, s'insurge l'écrivain  Martin Monestier. Dans son     stupéfiant livre « Cannibales :  histoire et bizarreries de     l'anthropophagie, hier et aujourd'hui «  (2), il montre à l'envi, par le     texte et l'iconographie, que ce  tabou-là n'a cessé, et ne cesse,     d'être allègrement  transgressé par les hommes depuis la nuit des  temps.    « Tout  au long des siècles, écrit-il, se profile le  cannibalisme     alimentaire, tantôt de pénurie, tantôt gastronomique.   Le cannibalisme    guerrier tend à s'accaparer les vertus de  l'adversaire  ; le    cannibalisme sacré veut imiter les dieux ou  évoquer  les ancêtres ; le    cannibalisme médical espère protéger  les  vivants ; le cannibalisme de    vengeance désire humilier en rendant   son ennemi à l'état de viande de    boucherie ; le cannibalisme   judiciaire sert à rétablir l'ordre  social ;   le cannibalisme  érotique  s'introduit dans les plaisirs de  l'amour  pour  stimuler  la volupté.  Et le cannibalisme pathologique  serait la   matérialisation  du  fantasme anthropophagique agitant chaque  individu   dans toutes les  sociétés.


Le     cannibalisme tire son son origine d'une passion, de   l'embourgeoisement   de certains dans des gamiques qui faisaient et qui   font encore des   PACTES DE SANGS ET..... L'usage est d'exclure du   banquet   anthropophagique les femmes et les  enfants pour en faire un   privilège   sacerdotal et aristocratique.
 
Attention aux âmes sensibles, ne regardez pas cette photo où la reine montre un regard diabolique
Le     progrès des techniques de laboratoire, notamment  le microscope     électronique à balayage, ont permis de montrer  que de nombreux os     humains fossiles portaient les traces d'un dépeçage  réalisé avec des     outils de pierre. Ainsi, sur le site de  Krapina, en Croatie, où     vivaient des néandertaliens, une  bonne partie des quelque 800 os     humains découverts avaient, sans  conteste, été incisés (pour en     détacher les  chairs ?), brisés (pour en extraire la délicieuse moelle      ?) ou brûlés (à l'issue d'un barbecue ?
 
 
Voici des photos très révélatrices .... jugez-en par vous-mêmes .....
 

Est-ce      la reine grand-mère, Mary? ....  car ce matriarcat mafieux      britanno/germano/Italo/Espano/Franco....  semble dirigé par les plus      Anciens qui supervisent les jeunes rois et  reines et ce jusqu'à la  mort     des Anciens tout comme les Druides le  faisaient
     Le guerrier mange le vaincu   
   Le     guerrier mange le vaincu, surtout son  foie ou son coeur, organes où     siège le courage, pour s'en  attribuer les vertus et, au passage,     humilier sa tribu. Une pratique qui  plonge ses racines dans  l'universel    - et toujours d'actualité -  principe d'incorporation.  L'(h)omnivore    est persuadé qu'il devient  ce qu'il mange : il a un  sang de navet  s'il   abuse de ce légume,  il se refait du sang en  mangeant de la  viande   rouge, il se sent génétiquement  manipulé s'il  ingurgite des  OGM, il ne   fait qu'un avec ses ancêtres  s'il les  boulotte en famille  après leur   mort. C'est également  ce principe  d'incorporation que l'on  retrouve,   dans la religion catholique,  dans  le sacrement central de  la communion   (voir encadré).
L'exocannibalisme     est le fait de manger               réellement               ou     symboliquement la chair d'un ennemi ; il exprime la férocité,                   la revanche et l’appropriation des qualités guerrières                   de l’adversaire : la bravoure et la force notamment. Du     détroit de Béring à  la Terre de Feu, la pratique rituelle du     cannibalisme, essentiellement  de vengeance, était monnaie courante.     Pour s'en convaincre, lire  l'extraordinaire « Relation véridique et     précise des  moeurs et coutumes des Tupinamba » (4), de l'arquebusier     Hans Staden.
   Ce mercenaire allemand du XVIe siècle,  qui fut     capturé sur le littoral atlantique du Brésil par  cette tribu, dut, en     arrivant au village d'Ubatuba - la coutume, c'est  la coutume -   annoncer   lui-même : « C'est moi qui arrive, moi  votre nourriture... »
   Durant     neuf longs mois, il a vécu  la chronique d'une dévoration annoncée.   La   sienne. Avant  d'être racheté, in extremis, par des marins   français,   il  eut tout loisir d'observer en direct les étapes de ce   rituel   destiné à  venger les morts de la tribu. Plusieurs autres    prisonniers  subirent,  en effet, ce sort durant sa propre captivité.  «   J'ai vu  toutes ces  cérémonies et j'y ai assisté  », dit-il. Ces   scènes, il les a  même  dessinées  dans son livre. A l'issue des   cérémonies, auxquelles  le futur   plat de résistance participe de bout   en bout, l'exécuteur   s'approche  du prisonnier et lui dit, rapporte   Staden : «"Me voici  ! je  viens pour  te tuer ; car les tiens ont tué   et dévoré  un grand nombre  des miens."  Le prisonnier lui répond :   "Quand je  serai mort, mes amis  me  vengeront." Au même instant,   l'exécuteur  lui assène sur la tête un  coup  qui fait jaillir la   cervelle.  Les femmes s'emparent alors du  corps, le  traînent auprès du    feu... »
          	 			 		
 		  			Les rites de la chair
 		  			 				Le Point				- Publié le 				12/05/2000 à 18:25 - Modifié le 16/01/2007 à 18:25			
 	  		  			  		 				 		 		 		 			   Pourtant,     depuis Freud, il est admis que  l'anthropophagie est, avec l'inceste    et  le parricide, l'un des trois interdits  fondamentaux de l'espèce     humaine. Erreur, s'insurge l'écrivain  Martin Monestier. Dans son     stupéfiant livre « Cannibales :  histoire et bizarreries de     l'anthropophagie, hier et aujourd'hui «  (2), il montre à l'envi, par le     texte et l'iconographie, que ce  tabou-là n'a cessé, et ne cesse,     d'être allègrement  transgressé par les hommes depuis la nuit des  temps.    « Tout  au long des siècles, écrit-il, se profile le  cannibalisme     alimentaire, tantôt de pénurie, tantôt gastronomique.   Le cannibalisme    guerrier tend à s'accaparer les vertus de  l'adversaire  ; le    cannibalisme sacré veut imiter les dieux ou  évoquer  les ancêtres ; le    cannibalisme médical espère protéger  les  vivants ; le cannibalisme de    vengeance désire humilier en rendant   son ennemi à l'état de viande de    boucherie ; le cannibalisme   judiciaire sert à rétablir l'ordre  social ;   le cannibalisme  érotique  s'introduit dans les plaisirs de  l'amour  pour  stimuler  la volupté.  Et le cannibalisme pathologique  serait la   matérialisation  du  fantasme anthropophagique agitant chaque  individu   dans toutes les  sociétés.  »
        « Ainsi fut sauvé  Zeus... »   
   Loin     d'être l'apanage de quelques  rares assassins hors normes - comme le     Japonais Issei Sagawa qui, à  Paris, en 1981, eut, pour sa petite  amie    néerlandaise, une passion  littéralement dévorante, ou, pis,  comme  les   Américains  Ottis Tool et Henry Lee Lucas, qui, chacun de  leur  côté puis    en couple, tuèrent de 160 à 180 personnes, dont ils   goûtèrent  la   chair dans les années 70, ou encore comme Andreï   Tchikatilo,  le «   boucher de Rostov » qui, avant d'être arrêté  en   1990, avait tué et   ingéré au moins 52 victimes  -, l'anthropophagie   fait partie intégrante   de l'histoire de l'humanité.
   C'est si   vrai que, dans de   multiples sociétés,  les mythes de la création font   peu ou prou   référence  à la transgression de nombreux tabous dont,  en  premier lieu,   celui  qui frappe l'anthropophagie. Exemple donné  par le  préhistorien    Daniel Frimigacci (voir « L'odyssée de l'espèce  »,  Le  Point n° 1377) :  «  Tous les mythes d'origine et de  légitimation  de la  royauté dans le   Pacifique sont fondés sur le  cannibalisme  et  l'inceste commis par les   dieux. D'ailleurs, c'est la  même chose  pour  ceux de la civilisation de   la Grèce antique. Et  cela ne nous  empêche  pas de l'admirer et de la   considérer comme les  racines  de la nôtre ! »
   Dans  l'un des   premiers épisodes  de  « La théogonie » d'Hésiode, véritable   scénario de   la création du  monde selon les Grecs, le dieu  Cronos,  qui, avec la   complicité de sa  mère Gaia, avait émasculé  son détesté  père Ouranos,   une fois devenu  lui-même  reproducteur, redoutait de  subir le même sort.   Il prit  donc, au grand  désespoir de son épouse  Rhéa, les devants en   dévorant   ses propres enfants dès leur venue au  monde. A la naissance de   son   sixième bébé, Rhéa prit une pierre,  l'enveloppa  de langes et la    donna à Cronos qui l'avala sans se douter  du subterfuge.  « Ainsi fut    sauvé Zeus, le futur roi des dieux »,  constate  Jacques Lacarrière  dans «   Au coeur des mythologies »  (3).
        Quelque 800 os humains   
   Du     mythe à la pratique, il n'y a  qu'un pas que nos ancêtres les hommes    de  Neandertal et de Cro-Magnon  ont, apparemment, franchi. Depuis la    fin  des années 70, la précision  des fouilles comme le progrès des     techniques de laboratoire, notamment  le microscope électronique à     balayage, ont permis de montrer  que de nombreux os humains fossiles     portaient les traces d'un dépeçage  réalisé avec des outils de pierre.     Ainsi, sur le site de  Krapina, en Croatie, où vivaient des     néandertaliens, une  bonne partie des quelque 800 os humains découverts     avaient, sans  conteste, été incisés (pour en détacher les  chairs  ?),    brisés (pour en extraire la délicieuse moelle  ?) ou brûlés (à   l'issue   d'un barbecue ?).
   Les artistes de Lascaux et de la   grotte    Chauvet ne furent pas en reste. Ils ont laissé derrière eux    quantité   d'ossements de Cro-Magnon ayant subi les mêmes outrages  que   ceux   qu'infligeait Neandertal à Neandertal. Ces hommes du   paléolithique    perpétuaient ainsi la tradition déjà ancienne du repas    cannibale   inaugurée par Homo erectus, beaucoup plus primitif, qui    vivait à   Tautavel, dans le sud de la France, trois cent mille ans    avant eux.
   Et   pourtant, à l'époque,  les néandertaliens   furent les premiers humains à   enterrer  leurs morts. Mais peut-être ne   considéraient-ils comme   véritablement  humains que les seuls membres   de leur tribu... Après   tout, cela  se passait ainsi il n'y a pas si   longtemps dans de   nombreuses sociétés  traditionnelles et en Europe  au  temps de Christophe   Colomb, comme en témoigne  la controverse de   Valladolid sur l'humanité   des Indiens Caraïbes.  Quoi qu'il en soit,   le plus naturellement du   monde, sans que la plupart  du temps entre   dans cette pratique une   quelconque perversion, l'Homme avec  un grand H   a mangé de l'homme avec   un h minuscule, démontre  Martin Monestier  en  insatiable comptable des   bizarreries de notre étrange  espèce.
        Le guerrier mange le vaincu   
   L'Homme     mange de l'homme par nécessité,  comme sur le radeau de la « Méduse »     en 1816, lors de  la grande sécheresse de 1922 en Russie, durant le     siège de  Leningrad en 1941 ou, en 1972, après un accident d'avion  dans    la  cordillère des Andes. Les trente survivants du crash, dont  une    équipe  de rugby uruguayenne, survécurent ainsi soixante-dix  jours    durant  par - 40 °C avant d'être secourus...
   Cette     anthropophagie de survie, même  si elle soulève des haut-le-coeur, est     comprise et absoute par l'opinion  publique, les tribunaux et les     Eglises. Les marins naufragés de  la « Felicia » en 1875, de la «     Victoria » en 1884,  du « Britannia » en 1885, qui ont, comme dans la     chanson, mangé  leur mousse, ont par la suite été relaxés par les      tribunaux, constate Martin Monestier.
   Le guerrier mange le     vaincu, surtout son  foie ou son coeur, organes où siège le courage,     pour s'en  attribuer les vertus et, au passage, humilier sa tribu. Une     pratique qui  plonge ses racines dans l'universel - et toujours     d'actualité -  principe d'incorporation. L'(h)omnivore est persuadé     qu'il devient  ce qu'il mange : il a un sang de navet s'il abuse de ce     légume,  il se refait du sang en mangeant de la viande rouge, il se   sent   génétiquement  manipulé s'il ingurgite des OGM, il ne fait qu'un   avec   ses ancêtres  s'il les boulotte en famille après leur mort.  C'est    également  ce principe d'incorporation que l'on retrouve, dans  la    religion catholique,  dans le sacrement central de la communion  (voir    encadré).
   Lorsque les Européens, dans le sillage  des  Vasco de    Gama et autres Colomb, se lancèrent à la découverte   mercantile du   monde  dans le bruit des armures, le feu des mousquets  et  la fureur des    massacres, ils découvrirent avec stupeur que, aux   Amériques, en   Afrique  et en Océanie, le cannibalisme, dont  on ne  connaissait en   Occident que  les versions mythiques et de survie,   était couramment   pratiqué au  grand jour, sans honte ni perversité   excessive. Le terme «   canibal »,  francisé en «  cannibale », a  d'ailleurs été créé au  XVIe   siècle par  les explorateurs espagnols à  partir du mot  « caribal »  qui,  dans la  langue des habitants des  Caraïbes,  signifie « hardi »,  et non  pas  mangeur de chair humaine.
   Du  détroit de Béring à   la  Terre de  Feu, la pratique rituelle du  cannibalisme, essentiellement   de   vengeance, était monnaie courante.  Pour s'en convaincre, lire     l'extraordinaire « Relation véridique et  précise des  moeurs et coutumes    des Tupinamba » (4), de l'arquebusier  Hans Staden.
   Ce    mercenaire allemand du XVIe siècle,  qui  fut capturé sur le littoral    atlantique du Brésil par  cette tribu,  dut, en arrivant au village    d'Ubatuba - la coutume, c'est  la coutume  - annoncer lui-même : « C'est    moi qui arrive, moi  votre  nourriture... »
   Durant neuf longs    mois, il a vécu  la  chronique d'une dévoration annoncée. La sienne.    Avant  d'être  racheté, in extremis, par des marins français,  il eut    tout loisir  d'observer en direct les étapes de ce rituel  destiné à    venger les  morts de la tribu. Plusieurs autres  prisonniers subirent, en    effet,  ce sort durant sa propre captivité.  « J'ai vu toutes ces    cérémonies  et j'y ai assisté  », dit-il. Ces scènes, il les a même    dessinées   dans son livre. A l'issue des cérémonies, auxquelles le futur     plat  de résistance participe de bout en bout, l'exécuteur   s'approche   du  prisonnier et lui dit, rapporte Staden : «"Me voici  !  je viens  pour   te tuer ; car les tiens ont tué et dévoré  un grand  nombre des  miens."   Le prisonnier lui répond : "Quand je  serai mort,  mes amis me    vengeront." Au même instant, l'exécuteur  lui assène sur  la tête un  coup   qui fait jaillir la cervelle.  Les femmes s'emparent  alors du  corps,  le  traînent auprès du  feu... »
        Le festin des nobles   
   A     Wallis-et-Futuna, jusqu'il y a peu, l'Homme  mangeait l'homme pour     consolider l'institution sociale. Les humains y étaient  classés en  deux    catégories : les nobles, qui, comme chacun  sait, sont habités  par  les   dieux, et les autres... Pour nourrir  ces dieux intérieurs,  lors  des   fêtes de la récolte  ou pour l'intronisation des chefs, il  fallait    manger de la chair humaine,  en l'occurrence soit des  prisonniers de    guerre, soit les « autres  ». Par exemple des voisins  imprudemment    égarés sur  le territoire de la tribu, et même des  morts, ou les «    non-nobles  » de son propre groupe. Pour éviter les  abus, germes des    pénuries  futures, les chefs devaient parfois aller  jusqu'à fermer la    chasse  à l'homme, comme ils le faisaient pour la  cueillette des fruits.
La    question du philosophe des  Lumières  reste d'actualité, affirme  Martin   Monestier, qui précise  :  « A l'heure actuelle, on assiste  partout à  une  résurgence  du  cannibalisme sous toutes ses formes.  Principalement   rituel en Afrique   et en Amérique du Sud, pathologique  et criminel en   Amérique  du  Nord, criminel et de subsistance en Europe  de l'Est et en   Asie. »  Le  pervers et sadique Hannibal Lecter est en  bonne   compagnie..... Et  surtout toutes ces Sectes, ces Clubs, ces  Clans, ces   CONFRÉRIES et  autres SOCIÉTÉS SECRÈTES et qui opèrent  encore des rituels   ancestraux  pour s'obliger au silence et.....
VAMPIRISME DES CLASSES BOURGEOISES DÉVIANTES ET SANS MORALE
En     1901, dans             une thèse soutenue à la faculté de médecine                 de Lyon, le futur Dr Alexis Epaulard             utilisa   pour  la  première fois le terme de "vampire",  non pas             pour    désigner  un buveur de             sang mais un nécrophile : Victor    Ardisson,  le              "vampire" de Muy.
On a longtemps employé    le terme de «  vampire » pour             des malades se livrant à des    actes de  nécrophilie,             de nécrosadisme voir de  nécrophagie,   bien que,  pour             des raisons évidentes, il n’y  eut  pas,  dans  ces              cas, de succion de sang. À l’inverse,  certains   individus, tels que               les             vampires  de Hanovre,   de Düsseldorf, de  Londres et  de Nuremberg, ont une  fascination réelle                pour  le sang et non la mort
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 Cannibalisme
 De     nombreux rapports écrits et témoignages rassemblés par la section      australienne pour les crimes de guerre du tribunal de Tokyo, examinés      par le procureur William Webb      (futur juge en chef), montrent que des Japonais ont commis dans      plusieurs parties de l’Asie ou du Pacifique des actes de cannibalisme      contre des prisonniers de guerre alliés ou des populations civiles.   Dans    certains cas, ces actes furent le résultat de l’accroissement   des    attaques alliées sur les lignes de ravitaillement japonaises et   des    décès et des maladies frappant les soldats japonais en raison de   la    famine qui s’ensuivit. Toutefois, selon l’historien Yuki Tanaka, «   le    cannibalisme était souvent une activité systématique menée par   des    compagnies entières agissant sous le commandement d’officiers10. »
 Dans certains cas, la chair était prélevée sur des personnes en vie : un prisonnier indien, le Lance Naik Hatam Ali (qui devait plus tard devenir citoyen pakistanais) témoigna qu’en Nouvelle-Guinée :
 «     Les Japonais commencèrent à sélectionner les  prisonniers et chaque     jour un prisonnier était tué et mangé par les  soldats. J’ai vu cela     personnellement et près de 100 prisonniers furent  tués et mangés par     les soldats à cet endroit. Ceux d’entre nous qui  restaient furent     emmenés à un autre endroit situé à 80 km où dix  prisonniers moururent     de maladie. À cet endroit, les Japonais  recommencèrent à  sélectionner    des prisonniers en vue de les manger. Ceux  qui étaient  sélectionnés    étaient amenés dans une hutte où leur chair  était  prélevée sur leurs    corps alors qu’ils étaient encore en vie. Ils   étaient ensuite jetés    dans un fossé où ils finissaient par mourir »11
 L'un des officiers connus le plus élevé en grade à avoir été convaincu de cannibalisme fut le Lt. Général Yoshio Tachibana      qui, avec onze autres soldats japonais fut jugé pour l’exécution      d’aviateurs de l’U.S. Navy et le cannibalisme perpétré sur au moins un      d’entre eux en août 1944 sur l’île de Chichi Jima dans l'archipel d'Ogasawara.      Ils furent décapités sur les ordres de Tachibana. Comme les lois      militaires et internationales ne contenaient pas de dispositions      spécifiques au cannibalisme, ils furent jugés pour meurtre et « refus      d'une sépulture honorable ». Tachibana fut condamné à mort12.
L'endocannibalisme, pratique funéraire, est le               fait d’ingérer les restes d’un parent décédé.
                   Certains réduisent en poudre les ossements d'un défunt                 auxquels ils ajoutent de la bière de manioc, et font  boire    cette             mixture aux proches parents. Les ossements  sont  censés   contenir             les éléments vitaux de l'esprit de  la  personne   morte             qui sont ainsi transmis aux  consommateurs. 
             D’autres ingèrent seulement le cerveau et/ou le cœur,             sièges supposés de l’âme du disparu.
                 Il est avéré que certaines Chinoises mangent                   leur embryon ou leur foetus après une fausse couche. Il n’est                   pas exclu que cette pratique soit plus répandue dans le  monde                  qu’on n’ose le croire.Après                   la Première Guerre mondiale, William Buehler Seabrook,                   journaliste au New York Times, voyagea en Afrique où  il               s’interrogea sur le cannibalisme.             Il finit  par    rencontrer une tribu d’anthropophages qui mangeaient             leurs    ennemis tués            au combat. Un des guerriers lui  expliqua  quelles   parties étaient            le plus appréciées : pour  la  viande, tout  le  dos (ce            qui correspond, chez le bœuf, à   l’entrecôte,              au filet et au rumsteck), pour les abats, le   foie, le cœur et              le cerveau étaient considérés comme les   morceaux            de   choix. Un guerrier lui avoua que, pour lui,  "la  paume des              mains était le plus tendre et délicieux  morceau  de tous".              Revenu en France, il réussit à se  procurer un  morceau            de   chair auprès d’un interne de la  Sorbonne et,  dans            la villa du   baron Gabriel des Hons, à  Neuilly, se  livra enfin à son              expérience, devant témoins.  Il cuisina la  viande            et la goûta :   "Cela             ressemblait à de la  bonne viande de veau bien   développé,             pas trop jeune mais  pas encore un bœuf. C’était               indubitablement comme cela, et  cela ne ressemblait à aucune               autre viande que j’aie déjà  goûtée.            C’était si  proche   d’une bonne viande de veau bien   développé que je pense que  personne   qui soit doté d’une sensibilité  normale n’aurait    pu le  distinguer  du  veau."
Après                   la Première Guerre mondiale, William Buehler Seabrook,                   journaliste au New York Times, voyagea en Afrique où  il               s’interrogea sur le cannibalisme.             Il finit  par    rencontrer une tribu d’anthropophages qui mangeaient             leurs    ennemis tués            au combat. Un des guerriers lui  expliqua  quelles   parties étaient            le plus appréciées : pour  la  viande, tout  le  dos (ce            qui correspond, chez le bœuf, à   l’entrecôte,              au filet et au rumsteck), pour les abats, le   foie, le cœur et              le cerveau étaient considérés comme les   morceaux            de   choix. Un guerrier lui avoua que, pour lui,  "la  paume des              mains était le plus tendre et délicieux  morceau  de tous".              Revenu en France, il réussit à se  procurer un  morceau            de   chair auprès d’un interne de la  Sorbonne et,  dans            la villa du   baron Gabriel des Hons, à  Neuilly, se  livra enfin à son              expérience, devant témoins.  Il cuisina la  viande            et la goûta :   "Cela             ressemblait à de la  bonne viande de veau bien   développé,             pas trop jeune mais  pas encore un bœuf. C’était               indubitablement comme cela, et  cela ne ressemblait à aucune               autre viande que j’aie déjà  goûtée.            C’était si  proche   d’une bonne viande de veau bien   développé que je pense que  personne   qui soit doté d’une sensibilité  normale n’aurait    pu le  distinguer  du  veau." 
CROISADES
Des expéditions très sanglantes
Une     fois les villes conquises, les troupes chrétiennes et leurs chefs,    se   livraient à des atrocités qui faisaient frémir les chroniqueurs      chrétiens qui en avaient été les témoins, certains se plaisaient à      pratiquer le cannibalisme. Ainsi, après la mise à sac de la Palestine,      Raoul de Caen, chroniqueur de la Première Croisade écrivait :       « A Maarat, les nôtres firent cuire les païens adultes dans des marmites et embrochèrent les enfants pour les manger rôtis. »      Le chroniquer arabe Usana ibn Munqidh, qui avait connu dans sa  chair     les atrocités de la deuxième te troisième croisade, notait  dans ses     mémoires :       « Quand on nous eu informés sur les  frany (nom    donné par les  Arabes aux Croisés), nous vîmes en eux des  bêtes    nuisibles qui ont une  supériorité dans la valeur et l'ardeur  au combat    mais rien d'autre, tout  comme les animaux ont une  supériorité dans la    force et l'agressivité. » Et cet autre :       «  Les frany    passèrent au fil du couteau la population de la  Cité  sainte et tuèrent    des Musulmans pendant une semaine. Dans la  mosquée  Al-Aqsa, ils    massacrèrent 60 000 personnes. Ils réunirent et   enfermèrent les Juifs    dans leur synagogue et les y brûlèrent vifs. »   Même leurs    coreligionnaires n'échappèrent pas à la fureur sacrée  des  troupes    européennes : tous les prêtres et pratiquants des rites   orientaux    résidant à Jérusalem furent expulsés de la ville et  beaucoup     assassinés. Plusieurs prêtres coptes qui savaient où se  trouvait cachée «     la Sainte croix du Christ » furent férocement  torturés afin qu'ils     livrent leur secret.
Durant     la Seconde Guerre mondiale            les soldats japonais commirent     des actes de cannibalisme à l'encontre des prisonniers              et    des populations civiles dans les territoires occupés.
Ces actes  ont    pu être motivés par la famine dans certains           cas ; mais   selon   l'historien Yuki Tanaka, « le cannibalisme était             souvent une   activité systématique menées par des           escouades   entières et   sous le commandement d'officiers ».
Les plus hauts   gradés connus   ayant pratiqué le cannibalisme           sont le   lieutenant-général   Yoshio Tachibana (qui, avec           11 membres de   son personnel, a été   jugé pour avoir           fait manger un   aviateur américain en août   1944 à Chichi           Jima) et le   vice-amiral Mori (pour avoir mangé   un prisonnier lors           d'une   réception en février 1945).
Selon   le témoignage de plusieurs   prisonniers, tel que celui           du   soldat indien Hatam Ali, les   victimes étaient parfois dépecées             vivantes. 
On     a rapporté  que, durant la         guerre du Vietnam (1959-1975),  des    soldats vietcongs ingéraient         le foie de leurs ennemis  pour    s’approprier leur force.
La  presse a publié des          photos    d’enfants-soldats laotiens          exhibant  les foies  humains qu’ils    allaient consommer.
Dans Stèles       rouges,   l'écrivain   Zheng Yi raconte comment, au cours d'une       enquête  dans  la  province  de Guangxi, il découvrit de nombreux       cas de   cannibalisme  qui  eurent lieu durant la révolution culturelle       :   "Aussi  parle-t-on  rarement de ce qui 6 arriva           en Chine en 1968, en pleine révolution culturelle. Des   étudiants         du Guangxi ont mangé leur professeur, et le   cannibalisme  politique        est devenu une expression admissible de   la cruauté   révolutionnaire.       Des hommes étaient découpés vivants,   on   organisait       des festins de chair humaine rituels auxquels   chaque   camarade se devait       de       prendre part.”
confréries
Le     27 juillet 2009, devant le Tribunal spécial pour la Sierra Leone     (TSSL), l'ancien président libérien Charles Taylor, poursuivi pour      crimes de guerre et crimes contre l'humanité     et interrogé à propos                         de la déposition d'un     témoin de l'accusation racontant  qu'il avait mangé de la chair  humaine    avec Charles Taylor lors d'une cérémonie de la société  secrète Poro   dont  l'accusé est  aujourd'hui encore le chef,  déclara  qu'il ne   s'était  jamais livré au cannibalisme au Liberia, et qu'il  n'avait   "jamais  ordonné à aucun combattant de manger qui que ce  soit", en   précisant  qu'il "ne contestait  pas qu'il y ait des  cannibales dans   certaines  parties du Liberia".
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L’origine des maladies à prions pourrait bien être le cannibalisme
Caducee.net, le 11/4/2003
D’après      une étude épidémio-génétique réalisée à la fois sur les populations      cannibales de Papouasie-Nouvelle Guinée et sur différentes   populations    du globe, il apparaît exister de nombreuses évidences   anthropologiques    allant dans le sens d’une origine préhistorique des   maladies à Prions    transmissibles à l’homme et véhiculées par les   pratiques cannibales    courantes avant notre ère.  Le    polymorphisme du gène PRNP,   codant pour la protéine prion humaine, et    notamment une forme mutée  de  ce gène (PRNP129), confère à l’état    hétérozygote une relative   résistance aux maladies à prions (sélection    compensatoire).
   L’équipe de John Collinge (University College    Queen Square, Londres) a   étudié parmi une population de femmes de    Papouasie-Nouvelle-Guinée  (Les  Fores) pratiquant le cannibalisme, le    polymorphisme du gène PRNP.  Elle  s’est aperçue que 23 des 30 femmes    étudiées étaient porteuses à  l’état  hétérozygote de la mutation  M129V.   Il a été montré que cette  mutation  confère par ailleurs une   résistance à  la maladie de  Creutzfeld-Jakob  (MCJ), une   encéphalopathie spongiforme  semblable au  Kuru, la maladie  observée   parmi cette population.
 La  mutation  M129V (ou bien  E219K) a   été retrouvée par les chercheurs sur   l’ensemble du globe, et    l’analyse des régions d’ADN entourant ces   mutations a révélé que le    polymorphisme du gène prion remontait   probablement à plus de 500000    ans.
 D’après les chercheurs, le   polymorphisme du gène PRNP    remonterait à des périodes préhistoriques et   la fréquence de son    apparition à travers le monde plaiderait en  faveur  d’une pratique    courante du cannibalisme avant notre ère.
  Source: Science 11 avril 2003;www.sciencexpress.org/10 april 2003/page 1/ 10.1126/science.1083320
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